dimanche 26 décembre 2010

Jour 20

C’est le soir de Noël, c’était le soir de Noël et malgré la douleur, j’ai réussi à opéré une certaine réconciliation! Est-ce l’age, la fatigue d’une longue route, d’une route qui voudrait se terminer? Je ne dois pas nourrir le mortifère, il ressurgit malgré moi, malgré tout, fuyons le!

La réconciliation marque toujours une fin, il n’y que les judéo-machins pour prétendre le contraire… Toujours cet ailleurs meilleurs! Tout pour fuir l’ici, maintenant! Il s’agit d’une inévitable pirouette de religions!

Pourquoi  cet insistant sentiment de trahisons associée à mon incomplet passage de l’enfanlescence à l’adulescence… Mélange des genres! Rien de ce que j’aurais pu vivre ou mal vivre au paravent, ne change rien à mon état de souffrant, aux pires, cela encourage le mortifère… Fuyons! Pour le vrai, cette fois!!!

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